Les crânes de cristal représentent l’une des plus grandes énigmes auxquelles l’archéologie et la science contemporaine ont pu se retrouver

confrontées ces dernières décennies.

La légende…

Les Mayas ont toujours été considérés comme les “gardiens du temps” et les “gardiens des crânes”. L’une de leur légende raconte que, à l’origine, il existait douze planètes habitées dans l’Univers qui ont chacune rassemblé leurs connaissances dans un crâne de cristal.

Longtemps conservés dans une pyramide appelée “l’Arche”, ces crânes auraient été remis aux hommes par les Itzas, peuple atlante – l’Atlantide

a toujours fait partie de la tradition orale des peuples amérindiens –, pour faire don de leurs connaissances aux humains. Les Atlantes les

tenaient d’Initiateurs venus du ciel.

Au fil du temps, plusieurs civilisations en ont été les gardiennes de ces crânes et les ont utilisés pour leurs cérémonies : les Olmèques, les Aztèques, les Mayas.

Mais, lorsque ces civilisations ont brutalement disparu, il s’est avéré que le reste de l’humanité occidentale n’était pas prêt à recevoir cette

connaissance. Aussi, lors de la conquête espagnole, les crânes furent disséminés un peu partout en Amérique centrale par les prêtres. Il était impératif qu’ils restent séparés, leur pouvoir collectif étant trop puissant pour être utilisé avec sagesse par l’Homme.

La légende maya explique que le jour où tous ces crânes, porteurs d’informations majeures sur l’histoire des humains et des anciennes civilisations, seront réunis, ils devraient délivrer à l’humanité un message sur son origine et son devenir…

Mais la légende avertit également que, lorsque ce temps arrivera, l’humanité devra d’abord être suffisamment développée, évoluée à la fois moralement et spirituellement, de telle façon qu’elle n’abusera pas de cette grande connaissance. 

La réalité…

Encore de nos jours, les crânes de cristal sont un mystère aussi profond que les pyramides d’Égypte, le sphinx, les lignes de Nazca au Pérou, Stonehenge en Angleterre ou encore les crânes longs dans le monde entier.

Depuis leur découverte – le premier entre 1920 et 1924 lors d’une fouille archéologique au Belize, en Amérique centrale – les crânes de cristal ont été la source de beaucoup de controverses dans le monde archéologique et scientifique.

Une chose est cependant certaine, ce crâne du Belize de l’explorateur F. Mitchell-Hedges, avec sa mâchoire inférieure détachable, est fabriqué

avec une seule et même pièce de cristal de roche très pure et très rare.

Une constatation qui, au vu des outils aujourd’hui nécessaires pour tailler le cristal, comme les  meules de diamant ou plus récemment le

laser, s’avère tout simplement incroyable.

Aujourd’hui, il existe plusieurs crânes anciens dont la découverte ou l’acquisition n’est pas réellement définie. Personne ne semble vraiment connaître leur âge, la manière dont ils furent fabriqués, à quoi ils servaient ou leur provenance. Il faut aussi préciser que plusieurs de ces crânes anciens ont été amenés au British Museum en 1996 afin d’être expertisés. 

Les résultats n’ont pas été divulgués pour Max et Sha Na Ra, les experts du British Museum refusant de livrer leurs conclusions. Qu’ont-ils découvert ?

D’autre part, il est bon de mentionner que le cristal est connu dans le monde scientifique pour ses propriétés de stockage de l’information (mémoire vive des ordinateurs). C’est pourquoi la croyance des Mayas, qui inciterait à voir dans les crânes de cristal des sortes d’antiques “ordinateurs holographiques”, ne semble pas dépourvue de fondements, même aux yeux de la science moderne.

Les crânes dits “contemporains” peuvent acquérir, comme les anciens, une certaine quantité d’informations, soit au contact de crânes anciens,

sur des sites sacrés lors de voyages, ou pendant des cérémonies.

Plus d'infos sur : www.moncranedecristal.com